Burua makurtu gabe (fr)

C’était le printemps, une fête, une brise dans les yeux

Dans les bras de l’émotion

Des mots doux, des caresses, de l’amour détrempés

Je croyais que c’était toute ma vie comme ça.

Dès que les étés furent calcinés, les orages commencèrent.

Querelles, incidents, insultes, mépris

Chaleur humide et lourde, le cœur haletant

Le désespoir transpirant, implorant quelque chose

Un jour, il est allé où ou où ?

Il ne pouvait pas vivre sans baisser la tête.

Sans baisser la tête, il regarde fixement devant lui.

Chœur : (Sans baisser la tête, regardant fixement devant.)

Récité, rap :

Ne vous baissez pas, ne flirtez pas, vous avez du courage.

Bien que ça paraisse difficile, tu as pris ta décision.

Un pas, un pas et un pas.

Ferme, ferme, ferme, vigoureux, tous les pas suivis

Mets ton cœur dans ton sac à dos.

Ce sont vos compagnons de voyage.

La danse des lumières commence quand les dortoirs s’éteignent

en prenant la route, à l’aube suivante

Cette histoire se répète ici et là, à tout moment.

N’importe quel printemps, été, hiver, automne

Sans baisser la tête, sans baisser la tête, sans baisser la tête.

On regarde devant, on regarde devant, on regarde devant.

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